Locandina N. 112 Roubaix, une lumiere (film 2019) #roubaixunelumiere #arnauddesplechin #roschdyzem #leaseydoux #saraforestier #antoniereinartz #chloesimoneau #france #roubaix #frenchmovie #police #crime #murder #city #love #girl #bestmoments #bestmovie #festivaldicannes #ceremoniedescesars #movie #cinema
🎬🖤Roubaix, une lumière d’Arnaud Desplechin: thriller réaliste(voire naturaliste) et poétique, cette chronique policière teintée de drame social est inspirée de faits divers décrits dans le documentaire de Mosco Boucault Roubaix, commissariat central; portrait d’une ville sinistrée, violente et sombre, le polar de Desplechin se caractérise d’abord par un réalisme assez brut, voire brutal et cru, mais il se teint en même temps d’une forme d’onirisme très intéressant, notamment via les scènes nocturnes et la naïveté du narrateur, un jeune flic débutant, qui rejoint l’équipe du très charismatique commissaire Daoud (Roschdy Zem magistral)🎬🖤Après une première partie proche du documentaire, sorte d’immersion sociale dans le quotidien d’une des villes les plus pauvres de France (fugue d’une adolescente, incendie criminel, escroqueries, viols, vols à main armée...)le film se resserre sur l’assassinat sordide d’une octogénaire pour lequel sont soupçonnées deux jeunes femmes désœuvrées Claude (Léa Seydoux) et Marie (Sara Forestier), que le commissaire, tout en douceur, exigence et sagacité, va tenter de démasquer🎬🖤D’un réalisme fort et ambigu, ce polar, sombre et captivant de bout en bout, joue sur les contrastes avec sobriété: entre ombre et lumière, visible et invisible, humain et inhumain, la caméra dévoile, avec beaucoup de bienveillance, toute la complexité de l’âme humaine🎬🖤Via le personnage magnétique, inflexible et à la perspicacité presque surnaturelle de Daoud qui mène les interrogatoires avec empathie et intelligence, Desplechin réinjecte de l’humain dans ce qui n’en avait plus: dans le fait divers, dans la statistique, dans le crime🎬🖤La mise en scène est réaliste et efficace, la direction d’acteurs exemplaire : le double interrogatoire, en montage alterné, éclairant les personnalités opposées des accusées comme celles des deux flics, et la reconstitution, très théâtralisée, sans cadavre, du meurtre, sont emblématiques de la puissance dramatique du film et de son mouvement permanent: de l’ombre à la lumière 🎬🖤Noir et humaniste, sombre et beau. Intense🖤🎬 #leclapetlaplume #cinema #roubaixunelumiere
Ma filmothèque : Roubaix, une lumière. Au début, il y a la nuit de Noël. Les guirlandes qui scintillent dans les rues semblent dérisoires. Ont-elles le pouvoir de dissiper la disgrâce de la ville réputée la plus pauvre de France ? On plonge dans Roubaix presque comme dans un documentaire. Pour la première fois, Desplechin aborde le genre du film noir. On craint la caricature mais comme à chaque fois Desplechin tient à une écriture romanesque, qui élève ses personnages, même les plus sordides, à une forme de beauté intemporelle. Deux filles paumées, exclues, assassinent une pauvre vieille. Le commissaire Daoud fait son boulot de policier mais il a bien perçu que ces filles-là, si elles sont coupables, sont aussi et d’abord des victimes. Il est intéressant et rare de voir le travail quotidien d’un inspecteur de police aussi bien traité, tant dans son environnement que dans ses procédures. Le film n’occulte rien ni de la misère sociale ni de ses terribles conséquences. Desplechin montre, il ne dénonce pas. On ne peut pas parler de ce film sans saluer l'interprétation de Roschdy Zem. Il s'agit sans doute d'un des grands rôles de sa vie. Il sublime ses partenaires à l'écran. Antoine Reinartz est convaincant en jeune flic récemment muté. Un autre César du Meilleur second rôle est à prévoir. La musique est magnifique. Roubaix, une lumière n'est pas une succession des histoires ordinaires et malheureuses des policiers. C'est l'état d'une ville Roubaix, sinistrée par la désindustrialisation, et ravagée par une pauvreté endémique et des tensions sociales entre communautés. La magie des mots, la volupté des sons créent du Beau là où tout pourrait se réduire au désespoir. Desplechin prouve une fois encore qu'il est un des cinéastes français les plus passionnants et nous surprend avec un polar efficace. #mafilmotheque #arnauddesplechin #roubaixunelumiere #roschdyzem #leaseydoux #saraforestier #antoinereinartz #chloesimoneau #bettycatroux #jeremybrunet #stephaneduquenoy #philippeduquesne #anthonysalamone #ilyesbensalem #abdellatifsedegui #sylviemoreaux #diyachalaoui #bouzidbouhdida #maissataleb #fethisaidi
ANTEPRIMA 🌕🌕🌕🌗🌑 (3,5 su 5) (Uscita italiana: 1 ottobre 2020) (Regia: Arnaud Desplechin) Su Madmass.it la mia recensione di "Roubaix, una luce", il (bel) polar di Arnaud Desplechin. #cinema #film #recensione #review #instamovies #anteprima #roubaixunaluce #roubaixunelumiere #arnauddesplechin #roschdyzem #leaseydoux #saraforestier #antoinereinartz #chloesimoneau #ohmercy #madmass #polar #francia #roubaix #degrado #noir #cinemadiqualità
Ma filmothèque : Roubaix, une lumière. Au début du film, il y a la nuit de Noël. Les guirlandes qui scintillent dans les rues semblent bien dérisoires. Ont-elles le pouvoir de dissiper la disgrâce de la ville réputée la plus pauvre de France ? On plonge dans Roubaix presque comme dans un documentaire. Pour la première fois, Desplechin aborde le genre du film noir. Au départ, on craint la caricature, l'exagération mais comme à chaque fois Desplechin tient à une écriture romanesque, qui élève ses personnages, même les plus sordides, à une forme de beauté intemporelle. Deux filles paumées, exclues, sans avenir, assassinent une pauvre vieille. Le commissaire Daoud fait son boulot de policier mais il a bien perçu que ces filles-là, si elles sont coupables, sont aussi et d’abord des victimes. Il est intéressant et rare de voir le travail quotidien d’un inspecteur de police aussi bien traité, tant dans son environnement que dans ses procédures. Le film n’occulte rien ni de la misère sociale ni de ses terribles conséquences. Desplechin montre, il ne dénonce pas. On ne peut pas parler de ce film sans saluer l'interprétation de Roschdy Zem. Il s'agit sans doute d'un des grands rôles de sa vie. Il sublime ses partenaires à l'écran. Antoine Reinartz est convaincant en jeune flic récemment muté. Un autre César du Meilleur second rôle est à prévoir. La musique est magnifique. Roubaix, une lumière n'est pas une succession des histoires ordinaires et malheureuses des policiers. C'est l'état d'une ville Roubaix, sinistrée par la désindustrialisation, et ravagée par une pauvreté endémique et des tensions sociales entre communautés. La magie des mots, la volupté des sons créent du Beau là où tout pourrait se réduire au désespoir. Desplechin prouve une fois encore qu'il est un des cinéastes français les plus passionnants et nous surprend avec un polar efficace. #mafilmotheque #arnauddesplechin #roubaixunelumiere #roschdyzem #leaseydoux #saraforestier #antoinereinartz #chloesimoneau #bettycatroux #jeremybrunet #stephaneduquenoy #philippeduquesne #anthonysalamone #ilyesbensalem #abdellatifsedegui #sylviemoreaux #diyachalaoui #bouzidbouhdida #maissataleb #fethisaidi
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Séance 160 : Roubaix, une lumière. Au début du film, il y a la nuit de Noël. Les guirlandes qui scintillent dans les rues semblent bien dérisoires. Ont-elles le pouvoir de dissiper la disgrâce de la ville réputée la plus pauvre de France ? On plonge dans Roubaix presque comme dans un documentaire. Pour la première fois, Desplechin aborde le genre du film noir. Au départ, on craint la caricature, l'exagération mais comme à chaque fois Desplechin tient à une écriture romanesque, qui élève ses personnages, même les plus sordides, à une forme de beauté intemporelle. Deux filles paumées, exclues, sans avenir, assassinent une pauvre vieille. Le commissaire Daoud fait son boulot de policier mais il a bien perçu que ces filles-là, si elles sont coupables, sont aussi et d’abord des victimes. Il est intéressant et rare de voir le travail quotidien d’un inspecteur de police aussi bien traité, tant dans son environnement que dans ses procédures. Le film n’occulte rien ni de la misère sociale ni de ses terribles conséquences. Desplechin montre, il ne dénonce pas. On ne peut pas parler de ce film sans saluer l'interprétation de Roschdy Zem. Il s'agit sans doute d'un des grands rôles de sa vie. Il sublime ses partenaires à l'écran. Antoine Reinartz est convaincant en jeune flic récemment muté. Un autre César du Meilleur second rôle est à prévoir. La musique est magnifique. Roubaix, une lumière n'est pas une succession des histoires ordinaires et malheureuses des policiers. C'est l'état d'une ville Roubaix, sinistrée par la désindustrialisation, et ravagée par une pauvreté endémique et des tensions sociales entre communautés. La magie des mots, la volupté des sons créent du Beau là où tout pourrait se réduire au désespoir. Desplechin prouve une fois encore qu'il est un des cinéastes français les plus passionnants et nous surprend avec un polar efficace. #lecinemadethibault2019 #arnauddesplechin #roubaixunelumiere #roschdyzem #leaseydoux #saraforestier #antoinereinartz #chloesimoneau #bettycatroux #jeremybrunet #stephaneduquenoy #philippeduquesne #anthonysalamone #ilyesbensalem #abdellatifsedegui #sylviemoreaux #diyachalaoui #bouzidbouhdida #maissataleb #fethisaidi
ROUBAIX, UNE LUMIÈRE Arnaud Desplechin Sortie cinéma : 21 août 2019 Distribution : @le_pacte_officiel #roubaixunelumiere #arnauddesplechin #cinema #cinemafrancais #affiche #troissouvenirsdemajeunesse #estherkahn #uncontedenoel #roschdyzem #leaseydoux #saraforestier #antoinereinartz #chloesimoneau
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Roubaix, une lumière 🎥 De Arnaud Desplechin 👥 Avec Roschdy Zem, Léa Seydoux, Antoine Reinartz, Sara Forestier, etc... 📆 Sortie le 21 août 2019 🎦 VO 📟 1er visionnage 🎬 Le quotidien du commissariat de Roubaix au moment des fêtes de Noël... ✏ «Arnaud Desplechin, nouveau maître du polar» @telerama. C'est pas un vrai polar, tout au plus un film policier, mais ça ressemble beaucoup à un documentaire. Normal vu que s'en est inspiré d'un. En fait le film est littéralement coupé en deux. La première partie est intéressante. Elle permet de présenter les personnages à la manière d'un film noir en reprenant un certain esthétisme et un aspect glauque. Elle met en toile de fond Roubaix et ses habitants qui deviennent un personnage à part entière et obtiennent là un bel hommage. En seconde partie, on rentre dans un quasi huis clos quand l'on suit la garde à vue de Léa Seydoux et Sara Forestier. L'atmosphère devient oppressante, le rythme ralenti et le le temps devient long, trop long même que l'on a qu'une hâte, c'est que ça finisse. Et le final est loupé et ne sert strictement à rien. Cette partie n'étant pas du tout développée auparavant. Roschdy Zem fait du Roschdy Zem, rien de nouveau, c'est ni bon ni mauvais, juste comme d'habitude. Antoine Reinartz est insupportable, je ne sais pas si le personnage qu'il représente l'est aussi mais si c'est le cas je plains ses collègues. J'ai trouvé Sara Forestier meilleure que Léa Seydoux plus en galère par moments. Les seconds rôles policiers lors des gardes à vue sont loupés, trop surjoués. La réalisation est léchée, surtout dans la première partie. Bref, ça commence bien puis ça devient long et la fin est décevante. @whynotproductions_officiel @le_pacte_officiel #whynotproductions #lepacte #Roubaixunelumiere #ArnaudDesplechin #RoschdyZem #LeaSeydoux #AntoineReinartz #SaraForestier #StephaneDuquenoy #ChloeSimoneau #PhilippeDuquesne #MaissaTaleb #film #film2019 #critiquedefilm #movieofday #instamovie #review #moviereview #movie #cinema #avantpremiere #cinemadiagonal #montpellier #Roubaix #festivaldecannes #policier #meurtre